La musique traditionnelle japonaise s'est inspirée en partie de la Chine. La Chine a influencé la musique japonaise pour certains instruments de musique comme le shakuhachi (une flûte), mais également dans les styles de musique, comme pour le Gagaku, où l'on regroupe plusieurs instruments.
Il y a trois types d'instruments : les cordes, les vents et les percussions. Les cordes tiennent la place la plus importante, car elles peuvent très facilement accompagner la voix.
On trouve très peu de polyphonie. Même quand plusieurs instruments jouent ensemble, ils ont souvent chacun la même mélodie, car la musique ne joue pas trop sur l'harmonie et vise plus à marier des sons différents.
La musique, ou plutôt l'art en général, tient une place essentielle dans la vie des Japonais, car elle possède un côté très spirituel et fait facilement transparaître des émotions.
Japon Passion
Description :
Ce blog est fait autant pour ceux qui aiment le Japon que pour ceux qui veulent le découvrir. Il parle de tout ce qui a rapport à ce pays, que ce soit les geishas, les sumos, les jeux vidéos ou les bonsaï. Mon but est de partager mon amour pour le Japon avec le plus grand nombre, aussi n'hésiteez pas à m'envoyer vos mails !
Le thé, boisson très importante au Japon, voit tourner autour de lui toute une série de règles basées sur des traditions ancestrales. Les cérémonies de thé (Chanoyu) sont des moments uniques, où chacun doit trouver une atmosphère calme et chaleureuse. Pour cela, ce sont de longues années de travail qui attendent ceux qui veulent participer à ces cérémonies. Rien que pour boire le thé, un certain nombre de connaissances sont requises.
Tout d'abord, des objets typiques ont chacun leur rôle et leur importance : le bol tout d'abord, profond en hiver pour que le thé reste chaud, moins profond en été afin qu'il refroidisse plus vite ; la louche, avec laquelle on déplace l'eau selon l'occasion ; le Chakin et le Fukusha qui servent à nettoyr respectivement le bol et l'écope ; l'écope à thé ; la boîte à thé, le fouet et d'autres encore...
La cérémonie, maintenant ! Les écoles Omotesenke et Urasenke sont les principales, chacune répondant à ses critères, très précis. Hôtes et invistés portent habituellement un kimono. ils se purifient avant d'entrer dans le salon ou la chambre de thé, en se lavant la bouche et les mains. Après avoir goûté quelques petites friandises, les invités assistent au rituel du nettoyage des bols et ustensiles. L'hôte prépare soigneusement le thé, grâce à des gestes et dosages très précis, dans un silence repectueux, invitant au calme et à la détente.
Un autre rituel commence alors : l'invité principal est servi, fait une révérence au second invité, boit une gorgée et murmure quelques mots, puis reprend quelques gorgées avant d'offrir son bol au second invité. Chaque invité reçoit ainsi le bol, qui retourne pour finir à l'hôte. Ensuite, les gens peuvent admirer les ustensiles, qui n'ont souvent pas de prix et sont maniés avec un soin extrême. Enfin, chacun peut ressortir du salon de thé, l'hôte les saluant à la sortie de la pièce. Une cérémonie peut durer jusqu'à cinq heures, selon les aliments servis avant le thé et le type de cérémonie.
Tout d'abord, des objets typiques ont chacun leur rôle et leur importance : le bol tout d'abord, profond en hiver pour que le thé reste chaud, moins profond en été afin qu'il refroidisse plus vite ; la louche, avec laquelle on déplace l'eau selon l'occasion ; le Chakin et le Fukusha qui servent à nettoyr respectivement le bol et l'écope ; l'écope à thé ; la boîte à thé, le fouet et d'autres encore...
La cérémonie, maintenant ! Les écoles Omotesenke et Urasenke sont les principales, chacune répondant à ses critères, très précis. Hôtes et invistés portent habituellement un kimono. ils se purifient avant d'entrer dans le salon ou la chambre de thé, en se lavant la bouche et les mains. Après avoir goûté quelques petites friandises, les invités assistent au rituel du nettoyage des bols et ustensiles. L'hôte prépare soigneusement le thé, grâce à des gestes et dosages très précis, dans un silence repectueux, invitant au calme et à la détente.
Un autre rituel commence alors : l'invité principal est servi, fait une révérence au second invité, boit une gorgée et murmure quelques mots, puis reprend quelques gorgées avant d'offrir son bol au second invité. Chaque invité reçoit ainsi le bol, qui retourne pour finir à l'hôte. Ensuite, les gens peuvent admirer les ustensiles, qui n'ont souvent pas de prix et sont maniés avec un soin extrême. Enfin, chacun peut ressortir du salon de thé, l'hôte les saluant à la sortie de la pièce. Une cérémonie peut durer jusqu'à cinq heures, selon les aliments servis avant le thé et le type de cérémonie.
Il n'y a pas qu'en Angleterre où l'on trouve les meilleurs amateurs de thé ! Les Japonais sont eux aussi spécialistes dans la matière, surtout pour le thé vert !
Ce thé vert, donc, c'est auourd'hui le seul cultivé au pays du soleil levant. 4 récoltes ont lieu chaque année, les plantations s'étendant sur les îles de Kyushu et de Shikoku. La récolte du printemps (mai) est parait-il la meilleure, c'est donc sur celle-ci que sont concentrés le plus d'efforts.
Le plus cultivé est le sencha. Son parfum est unique, bien apprécié des connaisseurs. Son défaut est de se conserver peu de temps, c'est-à-dire environ 6 mois. Le bancha est quant à lui un sencha de moins bonne qualité. Issu des récoltes d'été et automne, il offre moins de saveur et d'apport en vitamines. A partir du bancha est né le hôjicha, aux feuilles légèrement grillées. Si on ajoute quelques grains de riz grillés au bancha, on obtient le genmaïcha, qui se boit glacé.
D'autres variétés existent, mais vous avez là les plus courantes. Grand producteur de thé, le Japon exporte aujourd'hui dans le monde entier.
Ce thé vert, donc, c'est auourd'hui le seul cultivé au pays du soleil levant. 4 récoltes ont lieu chaque année, les plantations s'étendant sur les îles de Kyushu et de Shikoku. La récolte du printemps (mai) est parait-il la meilleure, c'est donc sur celle-ci que sont concentrés le plus d'efforts.
Le plus cultivé est le sencha. Son parfum est unique, bien apprécié des connaisseurs. Son défaut est de se conserver peu de temps, c'est-à-dire environ 6 mois. Le bancha est quant à lui un sencha de moins bonne qualité. Issu des récoltes d'été et automne, il offre moins de saveur et d'apport en vitamines. A partir du bancha est né le hôjicha, aux feuilles légèrement grillées. Si on ajoute quelques grains de riz grillés au bancha, on obtient le genmaïcha, qui se boit glacé.
D'autres variétés existent, mais vous avez là les plus courantes. Grand producteur de thé, le Japon exporte aujourd'hui dans le monde entier.
140 000 personnes sont mortes suite à l'explosion des bombes. Un certains nombre son décédées instantanément, d'autres bien plus tard, selon le mal qui les a touchées.
Pour ceux qui sont morts tout de suite, 66% étaient très gravement brûlées, et d'autres sont mortes à cause des pluies acides qui ont suivies l'explosion. En effet, sous la chaleur torride, les survivants avaient si soifs qu'ils buvaient dans les flaques l'eau qui allait les achever...
Dans les survivants, près de 60% avaient été agressés par le souffle et les effets thermiques de l'explosion. 30% souffraient d'avoir été exposés aux radiations. Les personnes étant face à l'explosion ont souffert de troubles de la vision, les rendant aveugles durant quelques temps.
La femme ci-contre portait un kimono et a donc été brûlées selon les motifs, car les couleurs foncées absorbaient la chaleur, et les couleurs claires la renvoyaient, épargnant sa peau.
Pour ceux qui sont morts tout de suite, 66% étaient très gravement brûlées, et d'autres sont mortes à cause des pluies acides qui ont suivies l'explosion. En effet, sous la chaleur torride, les survivants avaient si soifs qu'ils buvaient dans les flaques l'eau qui allait les achever...
Dans les survivants, près de 60% avaient été agressés par le souffle et les effets thermiques de l'explosion. 30% souffraient d'avoir été exposés aux radiations. Les personnes étant face à l'explosion ont souffert de troubles de la vision, les rendant aveugles durant quelques temps.
La femme ci-contre portait un kimono et a donc été brûlées selon les motifs, car les couleurs foncées absorbaient la chaleur, et les couleurs claires la renvoyaient, épargnant sa peau.
Nous allons maintenant passer à un sujet grave, dont tout le monde a plus ou moins entendu parler : le bombardement d'Hiroshima, le 6 août 1945. Les Etats-Unis larguèrent ces armes nucléaires développées secrètement dans le but de faire se rendre le Japon.
Avant ces bombardement, les USA avaient fixé l'ultimatum de Potsdame, qui fut refusé le 28 juillet 1945, et entraîna la mort de dizaines de miliers de personnes. La ville fut choisi entre autres car elle était facilement incendiables et permettrait de faire un maximum de victimes, si la bombe fonctionnait. Au moment du bombardement, elle comptait environ 255 000 habitants.
Les deux bombes, "Fat man" et "Little boy" furent armées dans l'avion qui les transportait après le décollage, car on craignait que l'avion ne s'écrase et que les bombes explosent à un mauvais endroit.
"Little boy" devait être la bombe larguée sur Hiroshima. Les Japonais détectèrent un avion américain, mais il ne s'agissait en fait que d'un éclaireur, qui vérifiait que les conditions de visibilité étaient convenables.
3 B-29 survolèrent la ville : l'un pour le larguement, l'autre pour les relevées de données et le dernier pour les films et la photographie.
Lors de l'explosion, l'onde de choc rasa la ville sur plusieurs kilomètres et des vents pouvant atteindre plus de 700km/h balayèrent la ville. Le champignon atomique s'éleva dans le ciel à plusieurs kilomètres d'altitude. Des incendies immenses achevèrent de rendre la ville au néant.
Avant ces bombardement, les USA avaient fixé l'ultimatum de Potsdame, qui fut refusé le 28 juillet 1945, et entraîna la mort de dizaines de miliers de personnes. La ville fut choisi entre autres car elle était facilement incendiables et permettrait de faire un maximum de victimes, si la bombe fonctionnait. Au moment du bombardement, elle comptait environ 255 000 habitants.
Les deux bombes, "Fat man" et "Little boy" furent armées dans l'avion qui les transportait après le décollage, car on craignait que l'avion ne s'écrase et que les bombes explosent à un mauvais endroit.
"Little boy" devait être la bombe larguée sur Hiroshima. Les Japonais détectèrent un avion américain, mais il ne s'agissait en fait que d'un éclaireur, qui vérifiait que les conditions de visibilité étaient convenables.
3 B-29 survolèrent la ville : l'un pour le larguement, l'autre pour les relevées de données et le dernier pour les films et la photographie.
Lors de l'explosion, l'onde de choc rasa la ville sur plusieurs kilomètres et des vents pouvant atteindre plus de 700km/h balayèrent la ville. Le champignon atomique s'éleva dans le ciel à plusieurs kilomètres d'altitude. Des incendies immenses achevèrent de rendre la ville au néant.
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